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Au départ, il y a une question :
« A quoi ça sert de créer toujours plus de vêtements ? ».
Face à elle l’évidence du plaisir, du plaisir d’imaginer, de faire et de porter des vêtements, mais aussi le besoin de retrouver ce plaisir. Et une nouvelle question :
« Comment est-ce que je raccommode tout ça ? ».
En créant cette marque j’essaye de raccommoder ces questionnements et ce plaisir retrouvé, avec du fil, du sérieux teinté d’humour et un doigt de sensibilité.

blabla marque


 



Au départ, il y a une question : « A quoi ça sert de créer toujours plus de vêtements ? ». Face à elle l’évidence du plaisir, du plaisir d’imaginer, de faire et de porter des vêtements, mais aussi le besoin de retrouver ce plaisir. Et une nouvelle question : « Comment est-ce que je raccommode tout ça ? ». En créant cette marque j’essaye de raccommoder ces questionnements et ce plaisir retrouvé, avec du fil, du sérieux teinté d’humour et un doigt de sensibilité, juste un doigt.

Au cœur de cette marque, l’envie de raccommoder ces morceaux éparses, de tirer un fil entre des questionnements parfois irréconciliables, entre utilité et plaisir.

Je tire un fil entre un héritage du « bon goût » et l’envie de couper à grands coups de ciseaux dans la matière. Un fil entre mes réflexions de sociologue en herbe et des vêtements qui se portent, ou non. Des vêtements qui sont une invitation à décaler son regard.

Ce raccommodage est progressif, itératif, il se fait par ajout, par à-coup, tel des chapitres d’une nouvelle histoire à venir.